Une usine qui a fermé ses portes, et que l’on a dépouillé de sa raison d’être.
Ne restent que les reliquats d’une vie qu’on peut imaginer avoir été intense.
L’huile et la graisse, toujours là omniprésents, sautent à la gorge.
Entrez avec moi dans l’usine Karadoc (parce que le gras c’est la vie)…